Hordos
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Date d'inscription : 27/11/2008
Localisation : Ville maudite de Québec
 | Sujet: Un cimetière de goules  Lun 8 Déc - 20:14 | |
| J’étais en quête au abord de la ville, des bâtiments en ruines m’entourais, certain était encore debout mais la majorités n’étais qu’un amoncèlement de béton, bois et tiges de métal crochus.
Cela faisait plusieurs fois que je prenais ce chemin car il est le plus sécuritaire pour sortir de cette ville maudite. Un très vieux cimetière lugubre arborait le paysage, la végétation avait pris racine depuis très longtemps à en juger par la grosseur des arbres et du sou bois. Il n’y a que dernièrement que j’ai remarqué ce dernier tellement la flore y est abondante. De nature curieuse je décidai d’aller visiter ces tombes anciennes.
Après une heure ou deux a déambuler dans ce cimetière, j’en avais fait que la moitié, rassasier de ma curiosité je décidai de reprendre mon chemin. Prenant un sentier inconnu pour en sortir, j’arriva a une immense crypte sculpter, entourer d’un petit murais. J’y entras, je pouvais sentir sur ma peau vampirique l’age de l’air de cette pièce. Une tombe en pierre reposait en son centre. D’un pas décide je m’approcha pour ouvrir le couvercle. Un cercueil de bois a moitie décomposer se trouvais au fond. Je pouvais voir à l’intérieur, surprit de constater qu’il y avait un tunnel au lieu d’un squelette, j’ouvris le deuxième couvercle briser.
Mon courage d’immortel me décida a descendre pour aller voir qui ou quoi aurais pus creuser un tunnel aussi grand et surtout ici, sous une sépulture. Le passage partait dans deux directions, l’un vers la ville habiter et l’autre vers le cimetière. Descendant dans ces couloirs de terre, un mélange de pourriture, d’excrément et de sang que je n’aurais même pas fait boire a mon pire ennemi, me remplit les narines. Le sang me monta aux lèvres tellement l’odeur étais désagréable.
L’odeur nauséabonde dépassant largement ma curiosité, je décidai de remonter vers l’extérieur. Quand soudain j’entendis un bruit de couinement inhumain venant de l’un des tunnels. D’un réflexe surnaturel, je sortis mon bon uzi accrocher a une lanière de cuire sous mon bras gauche, pour le pointe dans cette direction. De l’autre main je m’aidais à grimper la paroi terreuse. Avec ma force de vampire je fus sortis du cercueil en seulement quelque seconde pour me retrouver entourer de quatre bêtes hideuses a gueule de chien et au pieds arrière en forme de sabot. Leurs peau noirâtre bourrer de bosses cartilagineuses étais incruste de terre sèche.
Les quatre êtres hideux émirs des couinements semblables a celles que je venais d’entendre dans le sous terrain. Sans trop me poser de questions j’ouvrai le feu sur la plus proche de ma ligne de mire. Une balle sur deux rebondissaient de sur elle comme si j’avais dans les mains un « paint balle gun ». Elle fini par tomber avec un cri qui me redit soure l’espace d’un instant. Deux des trois ont figer de surprise a mon geste mais la troisième avais déjà ces dents planter dans mon trapèze gauche. D’un coup de coude dans le ventre je me délogea de ça morsure, mais comme un chien enrager elle partie avec un morceau. Mon sang gicla, en même temps que la douleur. Du coin de l’œil je la vis avaler mon bout de chaire. D’un revers de point je frappai l’une des deux autres qui c’était approché, elle fit un vol planer au travers la pièce pour aller s’écraser sur un mur, de la poussière mélange de petits cailloux tomba du plafond. Après avoir avaler ma chaire, (surement pour ne pas parler la bouche pleine) d’un couinement elle cria « vampire ». Cela eu l’effet un stimulant pour les autres. Elles sont devenu « berserk ».
J’ai compris en cet instant que c’était des goules et que ceux-ci aiment la chaire morte. Surement que le corps d’un vampire était caviar a leurs yeux. Et comme des cafardes, quand ont vois une poigner c’est qu’il y en a beaucoup plus. Alors que cette idée me traversait l’esprit, j’entendis des bruits lointains de mauvais augure.
Les goules étaient fortes mais loin d’être aussi fortes qu’un vampire a la fleur de l’age et apeurer comme un ado a ça première fois. Surtout que maintenant la végétation qui était en abondance a mon entre dans le cimetière, paressait quasi inexistante en comparaisons a la quantité de goules qui se trouvaient dans celui-ci a ma sortie du tombeau.
Sachant en cette instant que je ne pouvais plus m’en sortir a coup de diplomatie de uzi.
Je pris mes jambes à mon coup et comme un bloqueur de football américan j’essayai de me frayer un chemin jusqu'à la sortie du cimetière. Voyant que ma progression se faisait ralentir part la quantité de goule. J’arracha une tige de fer forger qui dépassais d’un mur a moitié affaisser. Et maintenant comme « babe brute » je frappais des coups de circuits comme si ma vie en dépendait. Les goules volaient dans les airs à en obscurcir la clarté de la lune.
Pendant les dernières minutes avant d’arriver chez moi, je me disais a moi-même que le chemin que je croyais si sur en surface étais loin de l’être…
Hordos
Dernière édition par Hordos le Mar 9 Déc - 22:14, édité 1 fois | |
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