Hordos
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Date d'inscription : 27/11/2008
Localisation : Ville maudite de Québec
 | Sujet: L''araignée de Leng  Mar 9 Déc - 22:20 | |
| J’ouvre les yeux, une légère brume obscurcie ma vision. J’ai un mal de tête insupportable et je ne me souvins pas ou je me trouve. J’ai les membres engourdis, je ne peux pas bouger. J’ai une impression de mouvement, comme un pendule je me balance doucement de gauche à droite, mais mes bras et mes jambes ne répondent pas à mon cerveau. Une odeur désagréable me vient au nez, je n’arrive pas à l’identifier.
Après un certain temps, la mémoire me reviens. La dernière chose dont je me souvienne, c’est d’être aller au plateau de leng pour voir si mon bazar fonctionnait bien.
Revenant déçu et quelque peu fâcher contre mes vendeur incompétent. J’avais la tête ailleurs et n’étais pas sur mes gardes. Soudain je senti une forte douleur, comme un darde, a la hauteur de ma nuque. Sans même avoir le temps de voir d’où venais l’attaque, un engourdissement général me fis perdre l’équilibre. Juste avant de heurter le sol je me sentis soulever de se dernier, et a ce moment je perdis conscience.
Prenant de plus en plus conscience de ma fâcheuse situation. Je regarde autour de moi pour savoir ou je suis. L’obscurité et cette brume devant mes yeux me rendent la tache difficile. Pendant que mes nerfs sensitifs et le reste revenant sous mon contrôle. Je prends conscience qu’une sort de dentelle soyeuse me couvre le visage et le reste de mon corps. De ma force vampirique je réussi a me déloger un bras, étrangement cela eu pour effet de serrer le reste de ma prison de soie. De ma main libre je dégage mon visage pour y voire mieux.
A l’instant où le voile se leva de mes yeux il se leva aussi de mon cerveau. Je sais où je me trouve ou plus exactement avec quoi je me trouve. Par chance ces créatures hideuse son solitaire. Je suis victime d’une araignée de leng, ficelé comme un salami dans la chambre froid d’un boucher.
D’une intelligence égalant celle d’un humain a saveur arachnéenne. Ces araignées ont une taille qui peut aller jusqu'à celle un petit éléphant. Elles ont les pattes noire et velues, et un corps rougeâtre. Un venin mortel pour les humains, elles sont très dangereuses.
Plusieurs cocons de soies recouvrent le plafond avec moi, tous figés. De longs filaments recouvrent la pièce et certaine sorte pour aller dans d’autres salles. Je décide de rester immobile, question de ne pas faire savoir a la créature que quelque chose dans son réfrigérateur étais encore en vie. Des yeux je cherche mes armes car elle a prit soin de me les enlever. De l’autre cote de la pièce je vois mes vêtements mon uzi et mon « desert eagle ». Mais plus proche de moi je remarque une masse d’arme avec peu de toile après contrairement à mon équipement.
Je sens une brise et une légère lueur m’indiquant la sorti. Dans ma tête, je me dis, je me libère, prend la masse d’arme, au cas ou, cour vers mes affaires et sans perdre un instant je m’enfuis vers la sorti. Simple… Efficace, laissant peu de chance a l’erreur. Pourtant, quelque chose en moi me dit que la théorie n’est pas la pratique.
De mes longs ongles robustes je déchire avec difficulté mon cocon. Malheureusement j’ai du me débatte plus que je ne l’aurais cru car au loin j’entendis du bruit. Je prends l’arme près de moi et cour vers mes affaires. Arriver sur place, je me suis mis a forcer pour déloger mon équipement. Finalement je réussi a improviser un sac de toile avec tous mes objets a l’intérieur. Mon sixième sens me dit que je n’ai pas fais assez vite car une ombre gigantesque vint obscurcir le peu de lumière qui venais de la sorti. Je me retourne pour faire face à mon assaillante. Une forte odeur de musc bestial envahis mes nasaux.
Nu comme un ver avec une toile de sois dans le dos. Je regarde l’immense araignée s’approchée de moi. Elle n’u pas l’ère impressionnée par moi et ma masse d’arme. Ce que je donnerais pour une bonne arme tranchant en cet instant. Je recule un peu pour quelle ne bouche plus toute la sorti et laisse entrée un peu de lumière.
Elle s’approche de moi, d’un geste vif de l’une de ses pattes, elle voulu me clouer au sol. De justesse j’esquive sa jambe velu, profitant de mon tourniquais j’élance mon arme sur la patte suivante. Frappant sur une de ses articulations, entend un craquement sourd suivit d’une lamentation inhumain indescriptible.
Voici un conseille, il n’est pas judicieux de faire une blessure superficielle a une créature cinq fois sa grosseur. Il est plus sage de prendre son temps et d’infliger un coup mortel.
Furieuse, l’idée de jouer un peut avec sa proie lui passa rapidement. De ses nombreux yeux je vois mon reflet s’approcher. Effet d’optique car c’est elle qui me fonce dessus. De ses deux pattes avant elle me barre une retraite de cote, je recule pour me retrouver dos au mur. Fâcheuse position, car ses mandibules suintantes de poison mortel s’approche dangereusement de moi. Pris de panique je me sers de ma masse d’arme comme une arme percent et lui enfonce dans l’un de ses nombreux yeux. D’un sursaut elle recule avec mon arme encore planter dans l’œil, me donnant une opportunité de fuir vers la sorti.
Sans me laisser prier je fil en direction de la lueur du soir, mais d’un bond inattendu elle me bloque le chemin et expulsa un gros cracha de poison dans ma direction, inspirer par son saut je fis pareil mais sur la paroi de la grotte, et me propulse d’une pousser de jambe sur elle. A cheval sur son dos j’eus plusieurs idées saugrenues mais vite remises à l’ordre par la fureur que l’araignée dégageait. Tournoyant sur elle même et ce cabrant sur ses pattes arrières pour essayer de me cogner au plafond rocheux qui heureusement était trop haut. J’eus beaucoup de difficulter à rester en selle. Faisant une pointe de ma main griffu, je m’élança de toute mes forces vers ce qui me semble être son crâne, J’entendis un craquement sourd qui fis échos dans la grotte. De mon bras entrée jusqu’au coude je brassa comme si je voulais faire une omelette de son cerveau. Un bruit ignoble qui me fit bourdonner les oreilles, allait en décroissance, tout comme les mouvements saccader du corps de l’araignée.
Je ne sais pas combien de temps je suis rester étendu a cote de ce corps mort, question de récupérer. Je finis par me lever et fouilla la pièce pour voir si je n’y trouverais pas quelques choses d’utile.
Quittant cette endroit maudit pour retourner au mien avec deux ou trois baluchons sur mon dos. Je repensais à cette aventure. Impressionner et a la fois dégoûter je ressenti un peu de fierté d’avoir réussi a terrasser cette grosse araignée.
Soyer la, la semaine prochain pour une autre fabuleuse aventure d’Hordos. lol | |
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