La grande cite des Gugs

___Goetys leva son verre et porta un toast au succès de la mission qu’il venait de me confier. Une fois de plus il me demanda si j’étais bien sur de vouloir faire cette mission ou peu ne reviendrait. Et une fois de plus je lui dis que l’enjeu en valait la chandelle. Nous avons donc fini de boire nos verres et nous nous sommes dirigé vers le toit de chez lui.

___Il entama une incantation qui dura cinq minutes environ en un langage qui ne me disais rien, Pendant que nous attendions mon moyen de transport, Goetys sorti de sa toge un parchemin en peau humaine rouler et sceller et une gourde étrange a gros goulot, il me les tendirent et dit qu’il s’agissait de l’invocation, sur papier, qu’il venait de faire. Je devais brise le sceau et le jeter dans un feu pour que cela fonctionne et que ce qu’il ma demander d’aller chercher devais être conserver dans cette gourde corpulente a gros goulot qui, une fois entre mes mains, renfermais un liquide étrangement lourd pour sa grosseur.

___Du coin de l’œil j’aperçu un être ailler a tête de cheval qui s’approchais. La bête se posa sur le toit. Goetys la regarda sans parler, de son regard que je connais bien, la créature le fixa comme si elle l’écoutait, après un certain temps, elle m’examina et retourna sa tête vers Goetys. Il me regarda et dit : « bonne chance vieil ami », pendant que le Byakhees s’envola et me pris sous les bras pour m’amener avec lui dans les cieux.

___Le voyage fus assez long et froid, la plupart du temps nous survolions des nuages pourpres ou les traversions, a quelques reprises je dus me déglacer le visage et le corps. Nous avons fini par entamer notre décente sous les nuages et je pus apercevoir un paysage magnifique. Une chaîne de montagnes majestueuse aux piques enneiger se trouvait à nos 6h, entrelacer de plusieurs vallées verdoyantes. Devant nous se trouvais une vaste plaine vallonné avec ici et la des troupeaux d’animaux sauvages. Les nuages prisent dans les pics montagneux laissais une superbe plein lune se voir en face de nous.

___Nous avons touché terre au milieu de la plaine, la bête me lâcha et s’apprêta a repartir. Je lui dis que je devais me rendre dans une ville, pas au milieu de nulle part. Elle n’u pas l’air de comprendre, je continu en gesticulant, elle pencha sa tête chevaline et finie par faire un geste, comme pointant une direction et s’envola dans une autre.

___Empli d’insécurité, voyant la lune plutôt basse m’indiquant que le soleil allais bientôt se lever. Je me suis mis a marcher d’un pas rapide vers la direction suggérer par le Byakhees. Voyant de temps a autre des animaux étranges fuyant ma présence parmi les collines, je fini par apercevoir des lumières et des bâtiments au loin.

___Les alentours de la ville étais tranquilles, les immeubles en pierres semblaient avoir, au minimum six étages, mais en réalité en avaient seulement deux, leurs hauteurs étaient trompeuses. Les décorations étaient très basic pour ne pas dire inexistantes. Les lumières étaient des torches de ma grosseur attacher au bout de bâtons hauts de dix mètres planter a de nombreuses endroits dans se que je voyais de la ville. A l’évidence, il n’y avait pas de système d’égout car de nombreux déchets tapissaient les rues. Sans parler de leurs odeurs nauséabondes mélanger a l’émanation particulière des feux. Voyant les arches des bâtiments, je réalisa que Goetys n’a aucunement exagérer la taille des ces… comment déjà, ah oui, Gugs.

___Je décidai de faire le tour extérieur de la ville pour me familiariser avec celle-ci avant de mis aventurer. A quoi bon se lancer a tête baisser dans ce qui me semblais un endroit très dangereux. Les bâtiments étaient semblables et je déduis facilement le manque d’imagination flagrante de ces monstres.

___ C’est à ce moment que je vis l’un de ces monstres immondes, marchant torche a la main, il se tenait dans les chemins encore inexplorés de l’intérieur de la ville. D’une hauteur d’environ sept mètres cette… Chose hideuse ne portait pas de vêtements, se déplaçant sur deux pattes à trois orteils griffus et exagérément poilus, ça paraissait relativement agile. Il semblait, à cette distance, que ça soit une femelle avec seulement un gros sein au milieu du torse. Ces bras, à partir du coude, se séparaient en deux avant bras démesurément poilu à comparer du reste du corps et tous au bout ces membres ce trouvait trois doigts griffus tous aussi velus sans doigt préhensile. Mais se qui me donna le plus la nausée c’est sa tête, Deux gros yeux globuleux de chaque coter de celle-ci étais séparer par une gueule partant ou normalement est le menton et allant jusqu’au derrière de sa tête, tous ça orner de grandes dents pointus dégoulinantes de baves.

___ Je commençais à me dire qu’il vaudrait mieux me trouver un endroit très sécuritaire pour passer la journée sans être découvert. De plus, je dois aussi me trouver quelque chose à me mettre sous la dent car mon voyage en altitude m’obligea à me soigner a plusieurs reprises contre les engelures. Avec encore deux ou trois heures avant le lever du soleil je me suis mis a la cherche de mes exigences.

___Repassant a un endroit, je vis un immeuble délabrer probablement abandonner que je n’avais pas remarquer, discrètement je fis le tour pour y entrer. Des roches immenses jonçais le sol un peu partout dans la pièce principal, des morceaux de bois et des flaques d’eaux rajoutais au fais que rien n’habitais ici. Des colonnes massives supportaient encore le trois quart du second étage. Je pris le chemin pour monter les escaliers question de bien connaître ma nouvelle demeure temporaire. En redescendant je vis, de mon perchoir, une petite ouverture entre plusieurs rochers menant a ce qui pourrais être un sous-sol. Rendu sur place je pus descendre pour investiguer. Une salle très petite si on la compare aux autres étages, parfaite pour se en quoi je voulais l’utiliser. Je fis une découverte étrange parmi les déchets, quelques restes humains si trouvaient, os écrasé pour la plus part.

___Je fis un peu de ménage, et oui même le pape shit de la merde. De plus j’ai arrangé les morceaux que je pouvais bouger pour avoir une cachette dans ma cachette. Pendant que j’avais une grosse pierre en main, un rat gros comme trois sorti d’entre ces dernières, d’un geste vif je lui est régler son compte. Il y a longtemps que j’ai manger du rat, le goût est très désagréable et peu nourrissant. Mais je me suis dis que je le répéterais a personne.

___Le lendemain soir, a mon réveille, j’entendit des bruits multiples a l’extérieur. Avec la plus grande prudence je suis monter au deuxième étages pour avoir une vu d’ensemble. Une multitude de Gugs vaquaient à leurs occupations. Des enfants donnaient l’impression de jouer, Ils se chamaillaient tous pour un bout de métal, en regardant de plus prêt, il s’agissait d’une petite cage métallique de forme ronde. A l’intérieur se trouvais quelque chose qui semblais bouger. Le plus gros d’entre eux, après en avoir maltraiter plusieurs, réussi a ouvrir la cage en la tordent de ces deux main du même bras, il sortit ce qui semblais être un humain qui hurlais et l’avalas.

___ Une cinquantaine de Gugs se trouvaient dans la rue et seulement l’un d’eux portais un collier de plume et un sac a bandoulière, les autres se poussais de son chemin à son passage. Il s’arrêta prêt d’une grosse brouette remplis d’objets de tous genres, le Gug qui se trouvais a coter pris plusieurs affaires et les lui montraient. D’une agilité surprenante il inter changeaient les objets avec c’est quatre mains ayant toujours un nouvel objet en main. Le gros Gug au collier a plume se mis a grogner et siffler en postillonnant plein de gouttelettes de bave dans les airs, comme une fontaine boucher. Le premier se mis a fouiller frénétiquement dans sa brouette pour finalement se retrouver bras douille ne trouvant pas ce que l’autre demandais, ce qui le rendit furieux et d’un bras poussa la brouette et alla frapper l’autre qui aurais visiblement pus se tasser mais décida de recevoir le coup et s’accroupis en signe de soumission.

___J’ai passer ma nuit au deuxième étage de ma cachette a observer les coutumes de ces monstres immondes, n’étant pas accoutumer a être la proie, je voulais en connaître le plus possible avant de passer a l’action et accomplir ma mission.

___Le lendemain je me décidai à faire un tour en ville. Loin d’être alèse, regardant par dessus de mon épaule plus souvent qu’autrement, je vagabondais de cachette en cachette en direction du centre de la ville. Contrairement au abord de la ville qui étais tranquille, au centre, il y avais toujours au moins un Gug qui déambulais. Sous le couvert de la nuit, je réussi a me faire discret.

___Je trouva un chariot gigantesque ou je puis me glisser en dessous cacher près d’une roue, j’avais a réfléchir comme j’allais arracher un œil a l’une de ces bêtes et de plus il devait être le plus frais possible. Pas question d’aller déterrer un cadavre et tuer l’une de c’est chose ne me semble pas tache facile. Remarquant soudain un bruit de lamentation qui dérangeais ma concentration je pris conscience qu’ils s’agissaient de cris humains. Mon instinct de prédateur pris le dessus l’espace d’un instant, voulant voir pourquoi les « mouton » s’affolaient, de plus j’avais un petit creux.

___Arriver près du bâtiment en question je regardai à l’intérieur, une grande pièce remplit de choses diverses allantes de grands paniers en osier, des outils de forge, et même des objets à ma taille, sûrement pri à leurs « nourriture ».
___ Au centre de la pièce ce trouvais deux Gugs assis l’un en face de l’autre avec de chaque cote d’eux des cages remplis d’humains étrangement tranquille. Ces deux derniers me donnaient l’impression de jouer à un jeu. De plus ils pariaient des humains. Une exclamation me fis croire que le plus robuste d’entre eux venait de gagner, l’autre, grognant, sorti de sa cage une poigner de « nourriture » et les lança par terre en avant de l’autre Gug. Celui-ci regarda son gain, en pris un par une jambe, le renifla et fis un sifflement à l’autre avant de lui relancer le cadavre. Ce dernier, repris un autre humain dans son contenant et lui remit son du. J’entendis un bruit de craquement et fus dégoûter de la scène. Le gagnant croquais les têtes, comme des cuisses de grenouilles, et jetais le reste dans un tas que je n’avais pas remarqué auparavant, une chose est sur c’est qu’ils ont une bonne appétit.

___Remarquant que les lamentations venaient de la pièce voisine, je pris mon courage à deux mains et entra dans la pièce en longeant l’un des murs. Me faufilant au travers des cochonneries, il m’a été facile de rejoindre l’arche du fond. D’un mouvement vif et silencieux je pénétra dans l’autre salle. Se que je vis me donna des nausées, Des centaines de cage superposer emplissaient la pièce, une odeur d’urine, de merde et de décomposition me pris le nez. Pour une des rares fois depuis que j’ai accepter le fait d’être un vampire, je ressentis de la pitié pour ces humains.

___ Brusquement, une idée ce forma dans ma tête, sachant que ces créatures horribles étaient au stade évolutif de rapport de force et sûrement pour encore très longtemps. Je fis un pari mon aussi, je m’approcha des cages et fis signe, aux peu qui étaient encore conscients, de continuer a se lamenter et d’attendre une minute ou deux question d’avoir plus de chance. Toutes en ouvrant les cages, pas qu’une mince affaire, car ils étaient fermés par deux barres de fer tordu ensemble. Des regards incrédule et abasourdis m’observaient détordre des barres gros comme des baguettes de pain, heureusement affaiblis par leurs trop fréquente utilisation.

___Que sa soit par peur ou par fatigue, ceux dont les cages étaient ouvertes n’ont pas fuit, ils attendaient ou essayais de trouver des connaissances ou de la parentés encore en vie dans les autres cages. Après un bon 15 minutes, je finis par ouvrir la dernière cage. Plusieurs étaient près de l’arche et regardaient avec peur et dégoût les deux gardes dans l’autre pièce, ne sachant pas trop s’ils devaient y aller ou attendre. Je me rendis contre ils avaient arrêter de gémir, reprenant les lamentations je les encouragea a recommence ou bien l’évasion allait échouer avant même d’avoir débuter. Seulement la moitié avait la force de tenter le coup.

___Ne sachant pas qui allaient faire le premier pas, ils restèrent tous la figer de peur. Ne voulant pas me retrouver au milieu de la foule quand ils allaient se faire voire, car j’y comptais bien, je pris les devant et refis le trajet inverse de mon arriver. Comme un troupeau de brebis, ils se son mis en mouvement. Sans trop de difficulté ils ont infiltrer la salle bourrer de cachettes adéquates. Moi, j’étais déjà retourner dans le chariot a l’extérieur, cacher dans le bois qui s’y trouvais. Pour eux, le plus dur restaient encore a venir, car les Gugs étaient plus près de cette arche que de l’autre et elle était mieux éclairer du aux nombre torches a l’extérieur. Soudain, un hurlement venant de l’intérieur se fit entendre. Comme des cafards quand on ouvre une lumière, ils ont laissé tomber la discrétion pour la rapidité et se sont mis à courir dans tous les sens.

___Les deux Gugs hurlaient à pleine gueule et couraient dans tous les sens avec leurs paniers pour en rattraper le plus possible. En peu de temps, d’autres Gugs sortir de leurs sommeil et couraient a leurs tour pour rattraper leur « nourriture ». Mais le mal était fait, beaucoup avaient réussi à s’échapper. Dans la cohue, je vis celui avec un collier de plume et il était facile de voir qu’il était furieux.

___ Quand le calme est revenu, les deux gardes étaient visiblement mal alaise. Le chef s’approcha d’eux en hurlant et postillonnant sur la foule encore un peu agiter. D’un revers de sa double main il frappa le plus grand qui tomba sur le sol sous la force du coup. Il retourna vers l’autre pour le frapper, le jeune évita le coup et parti en courant. D’un hurlement qui me fit mal aux oreilles, le chef commença une série de mouvement et une suite de grognement musical. Une lumière bleuté ténébreuse apparu autour de ses quatre mains, pointant ses bras en direction du fuyard, celui-ci tomba par terre en se tordant de douleur avant d’arrêter de bouger. Aucuns Gugs eux l’air de remettre sa discision en question.

___Pendant se temps, l’une de ces créatures sortis du « garde manger » avec une des cages et alla la montrer au chef en grognant et sifflant. Ce dernier regarda la cage et après un temps de réflexion, lui aussi se mis a grogné et siffler a la foule encore présente. Je compris très vite que j’avais sous-estimé l’intelligence de ces Gugs. Plusieurs se sont mis à fouiller les environs. Une sueur froide me fit me terrer dans le bois de la charrette question de me cacher le mieux possible.

___Après un certain temps, n’entendant plus trop de bruit près de la charrette, je me remis en position pour voir se qui se passais. Juste a temps pour apercevoir qu’ils amenaient le cadavre dans un des bâtiments non loin de la. Ils y avaient encore plusieurs Gugs dans les environs mais a de bonne distance pour me permettre de sortir de ma cachette sans trop de risque. D’un pas feutrer et rapide je me dirigea vers ma mission.

___Une fois dans le bâtiment plus vaste que les autres et le seul qui avais trois étages, je me suis mis a fouillé salle après salle pour trouver le mort en question. Des marmonnements sourds venaient d’une des pièces du fond ainsi qu’une lueur. M’approchant avec crainte, je vis plusieurs Gugs autour d’une dalle de pierre ou gisais le défunt, ils faisaient un rite funéraire. Après se qui sembla une éternité, ils ont fini par arrêter de chanter et chacun a leurs tours ont verser une flasque de liquide sur le mort, a l’odeur je me dis que c’étais de l’huile et qu’ils allaient le brûler d’ici peu.

___Terriblement déçu de ne pas avoir eu un moment seul avec le mort, je m’assis dans ma cachette et me morfondis sur mon sort. Moi qui avais déjà utiliser mon élément de surprise, il me sera très difficile de réussi ma mission. Si j’attire l’attention encore une fois, ils ne seront pas aussi laxistes dans leurs recherches.
___ Pendant ma déprime je vis un rat sortir une fissure le long d’un des murs, l’odeur du cadavre frais l’a sûrement attirer, il m’aperçu et je sentis que ça faim surpassait ça peur, étant presque de ma grosseur il me pris pour une repas copieux. Me disant, déconcerter, que toutes les bêtes ici mangent de l’humain. Je sortis mon couteau et sans aucune difficulté le chasseur est devenu le chasser. Pour la deuxième fois je bu du sang de bête depuis mon arriver ici.

___Absorber par le mauvais goût de se vin rater, je ne m’aperçu même pas que les Gugs étaient tous sortis de la salle en ayant laisser le cadavre sur place. Voyant la chance qui s’offrais a moi, je couru vers la dalle de pierre et avec difficulté je réussi a grimper dessus. Sans perdre un instant je pris mon couteau et commença à découper la paupière du monstre. De mon empressement je creva accidentellement l’œil, son humeur aqueuse se déversa sur mon arme et ma main. Heureux de ne pas être tomber sur des cyclope je fis le tour de sa tête pour m’attaquer a son autre œil avec plus de précaution. Je ne sais pas si sais la putréfaction du cadavre ou son odeur naturel mélanger a l’huile mais je n’est jamais eu autant hâte de fini ma besogne. Coupant le nerf optique l’œil tomba sur la table et roula vers le bord, du pied je l’empêcha d’aller s’écraser par sur le sol. En deux temps trois mouvements je le mis a tremper dans la gourde que Goetys m’avait donner pour le garder au frais.

___ Retirant mon couteau de la joue du Gug mort pour avoir, l’espace d’un instant les deux mains libres. Je me fis surprendre par une main poilu qui me saisi des genoux aux épaules. Je ne pus m’empêcher de penser à l’ironie. J’avais maintenant trois yeux sur moi et je ne l’ai pas vu venir. Je faillis perdre conscience et je sentis deux de mes cotes se briser tellement cette main puissante me serais fort.
___ Reprenant quelque peu mes esprits, je vis la grosse tête de Gug se tournée pour mieux me voir. Comme un oiseau, il ne me regardait que d’un seul œil. Se qui me terrifia encore plus, si cela est possible, c’est que le Gug en question portais autour du coup un collier de plumes. Je ne sais pas si sais physiologique ou bien que j’avais l’air très apetissent mais il se mis a saliver a profusion me dégoûtant, dans les deux sens du mot, dessus.
___ Prenant conscience que j’avais encore mon couteau dans ma main, j’essaya de me tortiller pour déloger mon bras, mes deux cotes me fis un mal de chien. Le Gug se retourna et commença à marcher vers la sorti de la pièce. Impossible de bouger, au lieu de tirer mon bras vers le haut, j’eu l’idée de le descendre juste un peu en forcent mon couteau vers l’extérieur. Je sentis celui-ci se planter légèrement dans le doigt inférieur de sa main. Le Gug réagit moins que prevu mais assez pour me permettre de déprendre mon bras a son emprise, de toutes mes forces je lui enfonça mon couteau dans la chaire du doigt. Je sentis qu’il se planta dans sa phalange. D’un grognement sa main griffue s’ouvrit et me laissa tomber, abandonnant mon couteau derrière moi. En l’espace d’un instant je m’aperçu que ma petite victoire en étais pas une, comme par automatisme, sa deuxième main du même bras vint se placer sous moi pour me rattraper, d’un geste vif et irréfléchi je fis une flexion au même moment ou mes pied toucha sa paume, espèrent que ses réflexe ne sois pas aussi rapide que les miens.
___ Comme un plongeur espérant une médaille olympique, je fis un vol planer gracieux me rappelant soudainement que ce n’étais pas de l’eau qui m’attendais en bas mais de la pierre bien solide. Frappant le sol de plein fouet j’entendit mon épaule craquer sous l’impact. Diable merci (depuis que je suis vampire je ne dis pus dieu merci) l’adrénaline me fis me relever en une fraction de seconde. Le souffle couper, le bras droit tombant sur mon coter, la douleur étais atroce, mais je réussi a me concentrer suffisamment pour me diriger vers un endroit ou le Gug qui s’était retourner aurais de la difficulté a me rattraper.
___ Une éclaire de génie me traversa l’esprit, je me dirigea vers la fissure d’où le rat étais sorti. Une fois dans l’entre mur je me suis effondrer mort de fatigue et de douleur. J’utilisa un peu de mon sang pour me soigner l’épaule et les cotes. Pendant ce temps j’entendis le Gug furieux de s’avoir fait jouer par sa « nourriture ». Des bruits de meubles se faisant fracasser sur les murs et des cris de frustration résonnait dans ma cachette. Après quelques instants j’entendis d’autres Gugs dans la pièce que je venais de quitter. Ne voulant pas sous-estimer mes poursuivants une deuxième fois, je ne prédis pas un instant et je suivis le chemin creuser par le temps et les rats.

___Enfin dans la pénombre de la nuit, je partis a courir comme si j’avais le dieu a mes trousses. Sans même regarder derrière moi, j’entendis les bruits de la ville s’éloigner. Je couru tellement longtemps que j’avais le goût de sang dans la gorge. Voyant que je serais serré si j’appelais mon moyen de transport je décida de chercher un endroit ou passer la journée. Sûrement que les Gugs vont fouiller les alentours de la ville pendant plusieurs jours, moi qui a besoin de faire un feu pour rentrer cher moi.
___Mes yeux vampirique mon permis de voir un amoncellement de rochers non loin de moi. Une fois sur place je vu que je finirais en cendre si je dormais la journée ici. Du a mon endroit sur élever je pus voir un autre lieu potentiel. Je passa une heure à courir de butte en butte pour trouver un trou convenable. Je finis par trouver la source d’un ruisseau ou je pus me faufiler assez loin pour être certain que même le soleil indirect ne m’atteindra pas.

___Le lendemain soir, je sortis de mon terrier tous tremper, épuiser et écœurer d’être en territoire inconnu. Les souvenirs de mes recherches d’hier me fond prendre conscience que de trouver du bois sec dans cette plaine ne sera pas une mince affaire. Cela ma pris la moitié de la nuit pour en trouver assez pour un feu raisonnable. Je me suis chercher un creux entre plusieurs buttes pour que mon feu ne sois visible que des airs. J’ai fais sécher mon parchemin avant de le faire brûler et finalement j’appela un Byakhees qui me ramenant cher moi sans encombre.

___En arrivant sur le toit de mon ami, il était la a m’attendre. Il était accompagner de quelques « sac de sang » bien juteux. Goetys me demanda si tous s’étais bien passer. Je le regarda et dit : « Une petite partie de plaisir mon cher ami ». Goetys, et ces deux esclaves me regardaient… septique, avec les yeux plisser et un doigt sous le nez. Je me suis regarder et parti a rire, mon linge déchirer par endroit, plein de croûte de terre sèche et même après une nuit a tremper dans l’eau d’un ruisseau je puais la charogne.

Hordos, qui vous salut bien bas

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