Hordos
Messages : 9 Date d'inscription : 27/11/2008 Localisation : Ville maudite de Québec
| Sujet: Une nuit à ne pas oublier Jeu 27 Nov - 15:31 | |
| En ce début d’hiver 2008. Je revenais d’une journée de ski avec trois de mes amis. Il y avait longtemps que je les avais vus et nous nous sommes très bien amusés. Après, nous avons été au pub de la montagne pour prendre quelque verres afin d’atténuer les douleurs musculaires. Moi qui étais le chauffeur désigné je n’ai que siroté un petit verre de Grand Marnier. En revenge, mes compagnons eux se sont laissé tenter par l’exagération.
Ils habitent tous à de bonne distance de chez moi alors le voyagement pour les reconduire chez eux a été tous aussi amusant. Nous nous sommes raconté tous les histoires rocambolesques que nous avons vécues depuis notre dernière rencontre.
La nuit étais tombé depuis déjà plusieurs heurs quand j’ai déposé le dernier à sa demeure. Au chemin de retour pour rejoindre mon 2 ½, mon auto c’est mise à sonner pour m’annoncer quelle avais soif. J’étais au beau milieu de nulle part, mais par chance (je ne suis, encore à ce jour, pas si sur d’avoir eu de la chance) une sorti m’indiquant une station service apparue devant moi sortant des ténèbres. Une fois sur place je donnai à boire à cette dernière pour quelle arrêt de cri de son « bip bip » intermittent qui commençais à me taper sur le système.
En entrant dans la station service qui étais aussi un dépanneur j’ai remarqué que l’employer n’étais pas là. Du regarde j’ai balayé l’intérieur du commerce pour remarquer une étagère de croustilles renversé sur le plancher avec des sacs éclatés sous le poids de celle-ci et des chips à profusion couvrais le sol. En me disant que le commis étais parti chercher de quoi nettoyer, je me suis rendu à la caisse pour l’attendre. Après trois ou quatre minutes à fixer les jujubes, mon impatience me fit penser de partir sans payer mais de nature honnête a plutôt décidé de partir à la recherche de cet employer paresseux.
Cela ma fait remarqué que dans l’allé suivant une trainer de sang longeais celle-ci jusqu’au fond ou j’aperçu un corps immobile sur le sol. De toute évidence il s’agissait du commis. Une sueur froide monta en moi et je figeai comme un animal qui c’est fait surprendre. Je fini par prendre mes jambes à mon coup pour me rendre à mon auto tout en sortant mon cellulaire de son étui.
De nul par, un homme de grande taille apparu à côté de ma voiture, comme s’il m’attendait là depuis un certain temps. Il me sourie, découvrant ces longues canines. Le temps que je fis volte face, lui qui était à 5 mètres de moi, m’agrippa le bras et comme une plume au vent je fis un vole plané de 15 mètres pour retomber sur un gros bonhomme gonflable qui offrais une promotion donc je me foutais totalement en ce moment. Prit de panique j’essayai de me relever malgré mon épaule surement disloqué. Je repris ma course, et encore une fois il m’attrapa part la nuque d’une main et d’un geste tellement vif il mit son autre main sur mon torse et me poussa d’un tel force que deux de mes côtes se son fracturées et je glissai de 20 mètres sur le dos et fini ma glissade en me heurtant la tête sur le congélateur à glace juste à côté de l’entrée du dépanneur. Épuiser de ma journée de ski, de mon vol planée terrifié et de ma glissade forcé, je décidé de ne plus bougé et d’attendre avec fatalité le sort qu’il allait me réserver. Quand il vit mes yeux vide de peur et déterminer à subir se qu’il avait décidé à ma place, je crois que c’est là qu’il a pris sa décision.
Il se pencha sur moi et enfonça ses crocs dans mon coup. Avec un spasme de douleur mélangé de plaisir je senti ma chaleur vital se faire drainer de mon corps brisé. Juste avant de sombrer dans l’inconscience à quelques minutes d’une mort certaine, je goûtai au nectar des enfers, Tous en tuent mon corps il me redonna ma non-vie. Celle que j’arrive à supporter encore aujourd’hui.
Anonyme | |
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