Hordos
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Date d'inscription : 27/11/2008
Localisation : Ville maudite de Québec
 | Sujet: Fait pas le chien de tindalos (1iere Partie)  Jeu 11 Déc - 20:06 | |
| _______________________________Premièrepartie____________________________________ J’étais dans les bas fond de l’arrondissent cinq, j’ai souvent envie de sang au quel il reste un peu de volonté. Mes esclaves son bien mais… C’est comme le vin, il y a du bon vin et il y a de l’excellent vin. Donc je me magasinais un bon cépage question de fini cette nuit qui avait si merveilleusement bien commencé. Comme a mon habitude je chassais ceux qui son seul ou par deux, il y a moins de chance d’avoir de mauvaises surprises. Après plusieurs heurs de chasse je commençais a désespérer, me disant que le gibier devenais de plus en plus prudent, probablement du au disparition de ces derniers mois. Finalement je trouva un « sac de sang » inspirant. C’était un vieil homme marchant avec une canne, pas vraiment ma tasse de thé mais c’est sa démarche convaincue qui m’attira. Il fini par se retrouver dans une rue sombre et tranquille, m’approchant furtivement, je le pris part surprise, Mon instinct ne m’avais pas trompé, son sang riche goûtais la détermination et l’expérience. Je bus avec ferveur jusqu'à ce que mes veines soie gorger de sang. Perdant vite intérêt je laissa son corps au seuil de la mort retomber sur le trottoir. M’éloignant du futur cadavre je l’entendis marmonner des paroles incompréhensibles. Curieux, je fis volte face pour l’examiner et peut-être comprendre ce qu’il bredouillait. Il me suffit d’un instant pour comprendre qu’il était un sorcier et son baratin inaudible était en fait un sort. De sa main gauche, il sortit un orbe rougeâtre et la pointa dans ma direction. Avant que je puisses fuir il fini son incantation. La sphère se mis à briller et une image ce forma en son centre. Une créature a la forme de chien apparu et se retourna vers moi pour me regarder droit dans les yeux. Une intelligence malsaine émanait de ceux-ci. D’un bond, le chien bleuâtre se propulsa vers moi, comme s’il était trop près, le focus ne se faisais plus et il disparut de l’orbe qui perdu son incandescence. L’homme à cet instant rendit son dernier souffle et laissa tomber son bras, le globe roula jusqu'à mes pieds. Soulagez de constater qu’il avais rater son sort je pris l’orbe et le glissa dans une de mes poches. En m’éloignant je reconsidéras et retourna le fouiller. Il avait seulement une bourse remplie de poudre et son portefeuille. Je décidai de rentrer car le soleil allais bientôt se lever et passer une journée dans un coin sombre des égouts ne me tentais guère. Plusieurs semaines plus tard, ayant presque oublier mon périple avec le vieil homme, je retrouva la sphère rouge dans le font d’un tiroir, piquer de curiosité je décidai de faire une petite enquête sur le sujet. Après deux semaines infructueuses je me penchai sur l’identité du vieux sorcier. Je découvris qu’il faisait parti d’une secte bien portante dans la ville. La popularité de celle-ci était grande en comparaison à l’information que j’ai pus avoir de ce groupe obscur. Décidez à prendre des mesures plus efficaces, j’envoyai plusieurs de mes esclaves pour infiltrer la secte. Fier de ma démarche et repu de ma chasse. Je prenais une aube de congé tranquille et bien mériter. Soudain, mes sens vampiriques titillent… Une présence m’observe, ma tendance parano me fit bondir sur l’épée de décoration accrocher au mur. Du coin de l’œil je vis une fumée apparaître dans un coin supérieur de la pièce. Une forme indécise en sortait. Reculant vers la porte, tout en gardant mon regard sur cette forme de plus en plus défini, je l’ouvris pour passer dans l’autre pièce, un petit salon personnel. Une tête quatre fois plus grosse qu’un chien se matérialisa, toute couvert de bave bleutée avec encore un peu de fumée blanchâtre qui lui sortait de la bouche et des oreilles, une patte a cinq griffes suivie. Même si ma force vampirique me donne du courage, l’inconnu fait peur. Certain de ne pas vouloir savoir a quoi ressemble le reste de cette créature immonde. Je pris mes jambes à mon coup et couru vers les étages inférieurs de l’immeuble où je me trouvais.Ouvrant et fermant les nombreuses portes qui me ralentissaient, je pris conscience qu’il faisait jour à l’extérieur. Arriver dans une salle commune ou plusieurs de mes esclaves étaient entrain de manger, j’entendais ce chien disproportionner fracasser les portes les une après les autres. Maintenant sur qu’il ne c’étais pas tromper de coin de mur et que c’est bien après moi qu’il en avais, j’eux des sueurs froides. Me regardant bouche bée, pendant que je reprenais mon calme, mes esclaves restaient la sans bouger. Ma fierté repris le dessus et je décidai de faire face à mon assaillant. Regardant la porte je fis surpris quand le mur, a quelque mètre de la, vola en éclat. Un grognement creux et sourd d’une intensité surprenante emplit la pièce. Sans plus attendre j’attaquai ce chien maudit, encore entrain de sortir du mur en morceau, il fit quasi surpris de mon coup d’épée visant sa gorge, il eu juste le temps d’avancer et mon arme frappa son épaule couvert de jus bleu, comme le reste de son corps. Mon épée heurta l’os, comme une masse frappant un mur de béton, le choc m’engourdi le bras en son entier et brisa ma belle épée décorative. « Mes armes a feu » dis-je aux gens qui entouraient, heureusement ils étaient dans une pièce connexe. Une étrange sérénité sauvage émanait de la bête, aucunement intimider par la quantité de personnes qui l’entouraient. D’un calme déconcertant elle s’approchait de moi. En reculant et sans réfléchir, je pris d’une main la personne la plus proche de moi et lui fit faire un vole planer sur l’immense chien, avant même que l’individu, criant, retombe sur la créature. Je lui en avais lancé un autre et un autre et puis un autre et encore. Le chien, de sa gueule et d’un mouvement du coup, les attrapaient et les propulsaient à sa droite et puis sa gauche. En cet instant je me sentais comme une femme jalouse, lançant tous se qu’elle trouvait a son mari agressif et infidèle, le tenant à distance et l’empêchant de fournir des raisons mensongères sur ces activités clandestine. Prenant conscience que j’allais bientôt manquer de munitions vivantes, surtout que ceux-ci avaient la fâcheuse tendance a s’éloigner autant de la créature que de moi. En plus du fait que les survivants recouverts de pus bleuté semblaient tomber comme des mouches agonisantes. Je décidai d’aller chercher moi-même mes armes. En cet instant, trois de mes gardes de protection reprocher sont arriver avec mes arme a feu et les leurs. Comme un quatuor ne manquant pas de pratique nous fîmes chantés nos instruments. La bête surprise l’espace d’un instant, encaissa la première voler de projectiles. Un jus bleu royal coulait de ses plaies. Maintenant lasse de sa curiosité et plus furieuse qu’auparavant, elle bondit vert moi avec sa gueule grande ouverte. Comme voulant sauver son président, l’homme a ma gauche se mit entre elle et moi recevant tout le poids et la hargne de la créature. Sans arrêter de tirer même au travers de celui-ci, nous avons fini par blesser ce chien des enfers, qui écrasait maintenant mon garde du corps de tout son poids. Tout a coup elle fit volte face et d’un bond vers un des coins de la pièce elle disparue dans un nuage de fumé. Après un long moment, le temps de reprendre nos esprit et que les survivants se remettre sur pied. Je dis a tous : « Elle risque sûrement de revenir une fois remise sur pattes, rester sur vos gardes, et elle risque d’être beaucoup plus agressive. Vous n’avez peut-être pas remarqué, mais elle a une capacité de régénération presque aussi bonne que la mienne. Ah et une autre chose… Combien de fois dois-je me répéter, vous devez toujours nettoyer la salle commune après avoir manger. » Pointant les corps inanimés jonchant le sol dans une mare de sang rouge et bleu.Hordos | |
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